En un peu plus d’une décennie, le PASTEF – Les Patriotes s’est imposé comme l’une des forces politiques les plus structurées et les plus enracinées du Sénégal. Sous le leadership d’Ousmane Sonko, aujourd’hui Premier ministre, le parti a su convertir l’engagement populaire en un mouvement organisé, discipliné et pérenne.
Sa capacité de mobilisation, régulièrement démontrée à travers le pays, témoigne d’une vitalité démocratique rare et d’une proximité maintenue entre le pouvoir et les citoyens.

Une mobilisation fondée sur la proximité

L’un des traits marquants du PASTEF est la constance de son lien avec la base.
Né d’une démarche citoyenne, le parti a conservé la même méthode : écouter, expliquer, associer.
La mobilisation n’y est pas perçue comme une simple démonstration de force, mais comme un outil de dialogue social et politique.
Dans les quartiers, les communes et les régions, la parole circule, les échanges sont encouragés, la participation est valorisée.

Ce modèle participatif, forgé dans l’opposition, s’est consolidé avec l’arrivée au pouvoir.
Le Premier ministre Ousmane Sonko en a fait un principe d’action : gouverner, oui, mais en restant à l’écoute des réalités de terrain.
Les grands rassemblements qu’il continue d’animer traduisent cette volonté de maintenir une connexion directe avec le peuple.

Le « pacte de Keur Massar »

Le meeting de Keur Massar en janvier 2023 a marqué un tournant dans l’histoire politique récente.
Organisé dans le 46e département du Sénégal, l’événement avait réuni des milliers de citoyens venus manifester leur engagement autour d’un message de courage et de détermination.
Ce jour-là, Ousmane Sonko a rappelé que « le peuple reste le véritable garant du changement ».
Au-delà de la ferveur, c’était l’affirmation d’un projet collectif, porté par une jeunesse mobilisée et confiante dans ses propres capacités.

Cette communion entre leader et militants symbolise la signature du PASTEF : une politique proche des gens, nourrie par le dialogue et la conviction.

Mbacké et Dakar Arena : entre résistance et structuration

Quelques semaines après Keur Massar, le rassemblement de Mbacké confirmait la profondeur du maillage territorial du PASTEF.
Malgré un contexte difficile, les militants ont répondu présents, illustrant la solidité d’une base capable de se mobiliser.
Cette endurance militante est devenue l’un des traits distinctifs du parti : une organisation souple mais disciplinée, capable d’encadrer la ferveur avec méthode.

Le giga-meeting du Dakar Arena en octobre 2024 a, lui, démontré une autre dimension : celle d’une mobilisation organisée et moderne.
Ce rendez-vous, dédié à la collecte de fonds citoyens, a prouvé que la force du PASTEF réside aussi dans sa capacité à structurer la participation populaire.
Des sections locales à la diaspora, tout le réseau a contribué dans un esprit de responsabilité et d’efficacité.
Une leçon de civisme politique, fondée sur la solidarité et l’autonomie.

Le Téra-Meeting : cohésion et maturité politique

Le Téra-Meeting de ce 8 novembre 2025 a confirmé l’évolution du mouvement.
Désormais au pouvoir, Ousmane Sonko a su transformer la ferveur militante en instrument de cohésion nationale.
Des milliers de citoyens se sont rassemblés pour réaffirmer leur confiance dans le projet du gouvernement et dans la stabilité du pays.

Dans un discours empreint d’apaisement et de fermeté, le Premier ministre a rappelé que « le Sénégal ne peut progresser que dans l’unité et la discipline ».
L’événement a mis en lumière la maturité d’un mouvement qui a su passer de la contestation à la responsabilité, sans perdre son souffle populaire.

Une école de participation politique

Ce qui distingue le PASTEF dans le paysage sénégalais, c’est sa capacité à transformer la mobilisation en éducation citoyenne.
Ses rassemblements sont autant d’espaces de formation, d’information et de conscientisation. Chaque rencontre avec la base devient une opportunité d’expliquer les politiques publiques, de rendre compte, d’écouter les attentes.

Cette approche participative, assumée et encadrée, contribue à rapprocher les institutions du terrain.
Elle traduit une vision de la démocratie active où la mobilisation n’est pas l’expression d’un désordre, mais un signe de vitalité républicaine.

Un leadership fédérateur

La réussite de cette mobilisation durable doit beaucoup à la personnalité du Premier ministre.
Ousmane Sonko a su fédérer, au-delà des appartenances partisanes, une partie importante de la jeunesse et des forces vives du pays.
Son discours de rigueur et de transparence, sa posture d’écoute et sa constance dans l’action ont renforcé sa crédibilité.
Le leadership qu’il incarne aujourd’hui repose sur une idée simple : le pouvoir n’est fort que s’il reste relié à son peuple.

Cette vision trouve un écho dans la culture politique sénégalaise, marquée par l’importance du contact humain et du dialogue direct.
Sous son impulsion, la mobilisation devient une valeur partagée : celle du travail collectif, de la responsabilité citoyenne et de la participation à la construction nationale.